La pathologie dépressive est souvent révélatrice de pensées négatives figées. Les personnes souffrant de l’impossible initiative des gestes présentent une maladie de parkinson. Celles qui souffrent de rituels ou de pensées répétitives présentent des TOC. Les mêmes stimulations cérébrales profondes soignent les deux maladies. Il y a donc une proximité étiologique cérébrale.
Les personnes souffrant de TOC présentent, parfois, une prédisposition familiale, une défaillance du cortex orbito-frontal (COF). Cette fragilité est testée par des expériences qui proposent des ajustements de règles en cours d’exercice. Elle est confirmée par des imageries cérébrales fonctionnelles. Le COF a pour fonction d’évaluer les processus cérébraux en cours et d’en changer si des impasses sont atteintes. Les personnes abusant d’alcool présentent très rapidement une détérioration de leur COF. Les troubles addictifs se résument tous à des conduites répétitives avec perte des capacités d’initiative.
Les lectures dimensionnelles des troubles psychiatriques offrent parfois des réponses surprenantes, simples et efficaces. Je propose de regrouper ces différentes catégories sous la « dimension » de l’initiative. Il s’agirait, quelles qu’en soient les causes, des souffrances résultant de la perte de l’initiative. Les antidépresseurs ne soignent pas cette dimension. Sous antidépresseurs efficaces, les personnes persistent dans une indifférence aux sujétions et une incapacité à intégrer les nouveautés. Elles se présentent souvent dans une stabilité béate rejetant tout changement. Je propose d’illustrer comment l’hypnose est particulièrement bien adaptée pour favoriser le retour des initiatives.
Objectifs pédagogiques
1. lire les dépression au travers de métaphores neuroscientifiques
2. utiliser les pensées négatives comme des ressources
3. lier l’hypnose à des ressources neuro-physiologiques
Retrouvez tous les participants au Congrès Hypnose Depressions et Thérapies Alternatives
Les personnes souffrant de TOC présentent, parfois, une prédisposition familiale, une défaillance du cortex orbito-frontal (COF). Cette fragilité est testée par des expériences qui proposent des ajustements de règles en cours d’exercice. Elle est confirmée par des imageries cérébrales fonctionnelles. Le COF a pour fonction d’évaluer les processus cérébraux en cours et d’en changer si des impasses sont atteintes. Les personnes abusant d’alcool présentent très rapidement une détérioration de leur COF. Les troubles addictifs se résument tous à des conduites répétitives avec perte des capacités d’initiative.
Les lectures dimensionnelles des troubles psychiatriques offrent parfois des réponses surprenantes, simples et efficaces. Je propose de regrouper ces différentes catégories sous la « dimension » de l’initiative. Il s’agirait, quelles qu’en soient les causes, des souffrances résultant de la perte de l’initiative. Les antidépresseurs ne soignent pas cette dimension. Sous antidépresseurs efficaces, les personnes persistent dans une indifférence aux sujétions et une incapacité à intégrer les nouveautés. Elles se présentent souvent dans une stabilité béate rejetant tout changement. Je propose d’illustrer comment l’hypnose est particulièrement bien adaptée pour favoriser le retour des initiatives.
Objectifs pédagogiques
1. lire les dépression au travers de métaphores neuroscientifiques
2. utiliser les pensées négatives comme des ressources
3. lier l’hypnose à des ressources neuro-physiologiques
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Source : http://www.hypnose-ericksonienne.org/Congres-Depre...