Milton H. Erickson s’est beaucoup consacré à l’étude du temps comme un des éléments essentiels du vécu humain par l’intermédiaire technique de la « distorsion du temps ». En voici deux exemples...
Comme en psychothérapie la situation clinique n’est pas un lit de Procuste5, l’utilisation des résultats et des concepts expérimentaux dépend nécessairement des besoins et désirs du patient et des circonstances qui les accompagnent. Il ne peut s’agir de servir l’intérêt particulier du thérapeute. Toute utilisation doit donc attendre les occasions offertes par le patient et ne doit en aucun cas être une procédure planifiée, mise au point hors du contexte des besoins que le patient manifeste en thérapie.
De plus, le concept de distorsion du temps ne constitue pas, par lui-même, une forme de thérapie, mais il offre une méthode qui peut donner accès aux expériences vécues du patient. Toute thérapie qui en découle provient d’un processus indépendant de réorganisation des significations et des valeurs associés aux réalités objectives et subjectives vécues par le patient.
Les cas cliniques qui suivent sont ceux de patients qui ont permis d’étudier l’applicabilité de la distorsion du temps aux problèmes psychothérapeutiques. Ces cas sont présentés avec une relative brièveté, en mettant l’accent sur la dynamique de chaque cas, puisque l’objectif est ici de démontrer aussi clairement que possible le problème, la situation et les circonstances qui ont amené à l’utilisation de la distorsion du temps, et les résultats obtenus.
Pour lire la suite sur hypnose-ericksonienne.org
Comme en psychothérapie la situation clinique n’est pas un lit de Procuste5, l’utilisation des résultats et des concepts expérimentaux dépend nécessairement des besoins et désirs du patient et des circonstances qui les accompagnent. Il ne peut s’agir de servir l’intérêt particulier du thérapeute. Toute utilisation doit donc attendre les occasions offertes par le patient et ne doit en aucun cas être une procédure planifiée, mise au point hors du contexte des besoins que le patient manifeste en thérapie.
De plus, le concept de distorsion du temps ne constitue pas, par lui-même, une forme de thérapie, mais il offre une méthode qui peut donner accès aux expériences vécues du patient. Toute thérapie qui en découle provient d’un processus indépendant de réorganisation des significations et des valeurs associés aux réalités objectives et subjectives vécues par le patient.
Les cas cliniques qui suivent sont ceux de patients qui ont permis d’étudier l’applicabilité de la distorsion du temps aux problèmes psychothérapeutiques. Ces cas sont présentés avec une relative brièveté, en mettant l’accent sur la dynamique de chaque cas, puisque l’objectif est ici de démontrer aussi clairement que possible le problème, la situation et les circonstances qui ont amené à l’utilisation de la distorsion du temps, et les résultats obtenus.
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Rédigé le 13/05/2010 à 09:01 modifié le 03/05/2010
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