1) Quelle est votre formation d’origine ?
Au départ, j’ai une compagnie de théâtre, « Les autres et compagnie ». Mon métier c’est donc l’écriture et la mise en scène. J’ai suivi des études de philosophie et de théâtre. En tant que metteur en scène, je ne peux prétendre à une activité continue, c’est pourquoi j’ai cherché rapidement une activité complémentaire pour compléter mes revenus.
2) Vous avez donc été amenée à changer de voie ?
Effectivement, j’ai donc du chercher un autre métier mais en utilisant mon savoir faire. Je suis devenue formatrice en communication dont l’outil principal est le théâtre. J’interviens dans différents domaines auprès des entreprises, dans le milieu de la banque ou de l’automobile par exemple. J’organise ainsi des séminaires de formation.
3) En quoi consiste ces séminaires de formation ?
Il s’agit de former en techniques de vente, prévention du burn-out par exemple. Concrètement, il s’agit de mises en situation : je fais jouer aux gens des saynètes et je vois comment ils se comportent, comment ils réagissent. J’utilise les outils du comédien pour gérer les situations comme le stress. Ces séminaires s’inscrivent dans le cadre de la formation continue. Je me suis dès lors rendue compte que le parcours de gens m’intéressait. C’est donc en toute logique que je suis devenue consultante en bilan de compétences. J’interviens une fois par semaine dans les entreprises.
4) Quand on parle de bilan de compétences, on pense souvent à une reconversion professionnelle…
Ce n’est pas souvent le cas en réalité. Le bilan de compétences permet de valoriser le parcours d’une personne, et lister son savoir-faire. Bien souvent, la souffrance au travail vient du fait que la personne est prisonnière de son quotidien, de son environnement de travail. Le bilan de compétences est dès lors une fenêtre sur son parcours et ne va pas forcément amener à un changement radical.
5) Comme vous êtes issue du milieu théâtral, est-ce que vous avez aussi affaire à des comédiens?
En mai 2013, j’ai effectivement conçu une formation auprès de comédiens inscrits au Pôle emploi. Je les aide à trouver du travail. Il faut bien le dire, le problème, c’est que lors de leur formation, on ne leur apprend pas à préparer la partie « commerciale » de leur métier. Je propose ainsi un séminaire de trois jours pour palier ce déficit, intitulé « construire sa carrière de comédien, chercher du travail efficacement ». Il s’agit de mises en situation concrètes pour chercher du travail. Cela passe par la maitrise des outils de communication, la construction du CV… En parallèle, j’anime également des sessions privées personnalisées de coaching professionnel. Elles interviennent généralement à la demande des gens après leur bilan de compétences.
6) Vous aidez donc aussi bien des gens en activité que des demandeurs d’emploi…
J’aide en effet ces deux profils, et aussi plus particulièrement les gens en free-lance, les porteurs de projets et patrons de start-up. Ils n’arrivent souvent pas à faire face à toutes les responsabilités qu’ils doivent endosser et sont souvent isolés. Je les aide donc à gérer les problèmes auxquels ils sont confrontés. Le coaching professionnel, c’est un accompagnement au changement professionnel. Le coaching vient en complément d’une approche plus globale comme les bilans de compétences.
7) Qu’est-ce qui vous a amené ensuite à vous intéresser à l’hypnose ?
Je me suis posée la question suivante : comment passer de l’inaction au changement ? Quel va être le déclencheur de ce changement. Ce qui m’a amené à m’intéresser à l’hypnose, c’est la lecture d’un ouvrage de François Roustang « Savoir attendre ». Je suis alors allée voir Laurent Gross, hypnothérapeute à Paris. Je trouve qu’il y a une vraie complémentarité entre mon métier et l’hypnose. L’hypnose est un vrai levier. J’ai ainsi orienté certains de mes clients vers l’hypnose. De mon côté, j’aide les gens à sortir de leur inconfort professionnel. Et s’il s’agit d’un problème plus personnel, je les invite à se tourner vers l’hypnose ou la psychothérapie.
Informations pratiques :
Tarif : 65 euros
La séance dure une heure
Ses coordonnées :
Consulter sa page Facebook : Facebook.com/Porteursdeprojets
Mail : Claireso.beau@gmail.com
Au départ, j’ai une compagnie de théâtre, « Les autres et compagnie ». Mon métier c’est donc l’écriture et la mise en scène. J’ai suivi des études de philosophie et de théâtre. En tant que metteur en scène, je ne peux prétendre à une activité continue, c’est pourquoi j’ai cherché rapidement une activité complémentaire pour compléter mes revenus.
2) Vous avez donc été amenée à changer de voie ?
Effectivement, j’ai donc du chercher un autre métier mais en utilisant mon savoir faire. Je suis devenue formatrice en communication dont l’outil principal est le théâtre. J’interviens dans différents domaines auprès des entreprises, dans le milieu de la banque ou de l’automobile par exemple. J’organise ainsi des séminaires de formation.
3) En quoi consiste ces séminaires de formation ?
Il s’agit de former en techniques de vente, prévention du burn-out par exemple. Concrètement, il s’agit de mises en situation : je fais jouer aux gens des saynètes et je vois comment ils se comportent, comment ils réagissent. J’utilise les outils du comédien pour gérer les situations comme le stress. Ces séminaires s’inscrivent dans le cadre de la formation continue. Je me suis dès lors rendue compte que le parcours de gens m’intéressait. C’est donc en toute logique que je suis devenue consultante en bilan de compétences. J’interviens une fois par semaine dans les entreprises.
4) Quand on parle de bilan de compétences, on pense souvent à une reconversion professionnelle…
Ce n’est pas souvent le cas en réalité. Le bilan de compétences permet de valoriser le parcours d’une personne, et lister son savoir-faire. Bien souvent, la souffrance au travail vient du fait que la personne est prisonnière de son quotidien, de son environnement de travail. Le bilan de compétences est dès lors une fenêtre sur son parcours et ne va pas forcément amener à un changement radical.
5) Comme vous êtes issue du milieu théâtral, est-ce que vous avez aussi affaire à des comédiens?
En mai 2013, j’ai effectivement conçu une formation auprès de comédiens inscrits au Pôle emploi. Je les aide à trouver du travail. Il faut bien le dire, le problème, c’est que lors de leur formation, on ne leur apprend pas à préparer la partie « commerciale » de leur métier. Je propose ainsi un séminaire de trois jours pour palier ce déficit, intitulé « construire sa carrière de comédien, chercher du travail efficacement ». Il s’agit de mises en situation concrètes pour chercher du travail. Cela passe par la maitrise des outils de communication, la construction du CV… En parallèle, j’anime également des sessions privées personnalisées de coaching professionnel. Elles interviennent généralement à la demande des gens après leur bilan de compétences.
6) Vous aidez donc aussi bien des gens en activité que des demandeurs d’emploi…
J’aide en effet ces deux profils, et aussi plus particulièrement les gens en free-lance, les porteurs de projets et patrons de start-up. Ils n’arrivent souvent pas à faire face à toutes les responsabilités qu’ils doivent endosser et sont souvent isolés. Je les aide donc à gérer les problèmes auxquels ils sont confrontés. Le coaching professionnel, c’est un accompagnement au changement professionnel. Le coaching vient en complément d’une approche plus globale comme les bilans de compétences.
7) Qu’est-ce qui vous a amené ensuite à vous intéresser à l’hypnose ?
Je me suis posée la question suivante : comment passer de l’inaction au changement ? Quel va être le déclencheur de ce changement. Ce qui m’a amené à m’intéresser à l’hypnose, c’est la lecture d’un ouvrage de François Roustang « Savoir attendre ». Je suis alors allée voir Laurent Gross, hypnothérapeute à Paris. Je trouve qu’il y a une vraie complémentarité entre mon métier et l’hypnose. L’hypnose est un vrai levier. J’ai ainsi orienté certains de mes clients vers l’hypnose. De mon côté, j’aide les gens à sortir de leur inconfort professionnel. Et s’il s’agit d’un problème plus personnel, je les invite à se tourner vers l’hypnose ou la psychothérapie.
Informations pratiques :
Tarif : 65 euros
La séance dure une heure
Ses coordonnées :
Consulter sa page Facebook : Facebook.com/Porteursdeprojets
Mail : Claireso.beau@gmail.com