L’entrée en sexualité peut se faire par la voie du bien-être et de la détente mais elle peut aussi se faire par un autre détour. En effet bon nombre d’amants (= personnes ayant ensemble des relations sexuelles, que celles-ci soient légitimées ou non) peuvent également entrer dans l’acte sexuel comme on rentrerait dans un combat. Ce créneau est d’ailleurs bien souvent exploité dans les réalisations cinématographiques.
Le bien-être dans un vécu de détente permettra souvent l’accès de manière plus aisée au plaisir. Et en ce qui nous concerne le vécu d’un plaisir sexuel. Plaisir qui est généralement recherché par les amants lors d’une rencontre charnelle.
Entre les bras de son chéri ou inversement entre les bras de sa chérie dans une ambiance de confiance et de confort affectif, le tout permettra aux partenaires de se laisser entraîner vers le délassement.
Ce climat va habituellement dans un premier temps permettre un centrage sur soi aidé par les ressentis agréables perçus ainsi que par les sensations de détente corporelles saisies. La présence disponible de l’autre et son attention envers sa (son) partenaire va créer une « bulle » sécuritaire propice à l’échange émotionnel.
Dans ces moments de bien-être certains, certaines se laisseront glisser lentement vers l’endormissement. D’autres par contre profiteront de ce moment d’harmonisation et de détente corporelle pour entrer dans la recherche et le vécu d’un plaisir soutenu par la relation sexuelle.
D’autres encore n’arriveront qu’aux prémices du bien-être sans vraiment y entrer. Pour ceux-ci, souvent peu voire pas de plaisir ne sera éprouvé et cela même s’ils entrent dans une part plus sexuelle de la relation.
Et puis ceux et celles qui rentreront dans l’acte sexuel comme dans une joute. Joute où le combat n’est pas de brutaliser son partenaire mais de le mettre, tout avec soi, k-o. après un ébat sexuel qui lui se vivra souvent sous le mode pulsionnel.
Dans ce cas de figure, les ébats ne passent pas par la voie des câlins tendres mais par une explosion émotionnelle qui est projetée et accueillie par l’autre. Cette explosion a pour essence de n’être que semi-contrôlée.
Si observateur il devait y avoir, ce dernier décrirait probablement la scène perçue en y intégrant des paramètres de brutalités et de « violences » contenues mais présentes. Hors souvent si les deux amants sont partie prenante dans ce style de jeux sexuels, ces derniers évoqueront une intensité perçue de part et d’autre laissée à l’expression libre et qui est la plupart du temps bien vécue.
L’une et l’autre approche, celle de la détente et celle de la joute peuvent être vécues au sein d’un même couple en fonction de l’état émotionnel des partenaires, de leurs désirs, de leurs envies…. La variété est souvent ce qui est cherchée et recherchée dans un vécu sexuel, l’une et l’autre approche peuvent dès lors être explorées par le couple.
Le bien-être dans un vécu de détente permettra souvent l’accès de manière plus aisée au plaisir. Et en ce qui nous concerne le vécu d’un plaisir sexuel. Plaisir qui est généralement recherché par les amants lors d’une rencontre charnelle.
Entre les bras de son chéri ou inversement entre les bras de sa chérie dans une ambiance de confiance et de confort affectif, le tout permettra aux partenaires de se laisser entraîner vers le délassement.
Ce climat va habituellement dans un premier temps permettre un centrage sur soi aidé par les ressentis agréables perçus ainsi que par les sensations de détente corporelles saisies. La présence disponible de l’autre et son attention envers sa (son) partenaire va créer une « bulle » sécuritaire propice à l’échange émotionnel.
Dans ces moments de bien-être certains, certaines se laisseront glisser lentement vers l’endormissement. D’autres par contre profiteront de ce moment d’harmonisation et de détente corporelle pour entrer dans la recherche et le vécu d’un plaisir soutenu par la relation sexuelle.
D’autres encore n’arriveront qu’aux prémices du bien-être sans vraiment y entrer. Pour ceux-ci, souvent peu voire pas de plaisir ne sera éprouvé et cela même s’ils entrent dans une part plus sexuelle de la relation.
Et puis ceux et celles qui rentreront dans l’acte sexuel comme dans une joute. Joute où le combat n’est pas de brutaliser son partenaire mais de le mettre, tout avec soi, k-o. après un ébat sexuel qui lui se vivra souvent sous le mode pulsionnel.
Dans ce cas de figure, les ébats ne passent pas par la voie des câlins tendres mais par une explosion émotionnelle qui est projetée et accueillie par l’autre. Cette explosion a pour essence de n’être que semi-contrôlée.
Si observateur il devait y avoir, ce dernier décrirait probablement la scène perçue en y intégrant des paramètres de brutalités et de « violences » contenues mais présentes. Hors souvent si les deux amants sont partie prenante dans ce style de jeux sexuels, ces derniers évoqueront une intensité perçue de part et d’autre laissée à l’expression libre et qui est la plupart du temps bien vécue.
L’une et l’autre approche, celle de la détente et celle de la joute peuvent être vécues au sein d’un même couple en fonction de l’état émotionnel des partenaires, de leurs désirs, de leurs envies…. La variété est souvent ce qui est cherchée et recherchée dans un vécu sexuel, l’une et l’autre approche peuvent dès lors être explorées par le couple.
Par Véronique LOVENS, Maître-assistant, Sexologue, Sexothérapeute à Paris et Liège
Source: http://sexologue-sexotherapeute.com
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