Placé à la fin d’un mot, le suffixe algie indique une douleur. Vous n’en savez donc guère plus si vos douleurs cervicales deviennent des cervicalgies, ou celles de votre dos des dorsalgies, ou celles des lombaires des lombalgies, voire celles de vos genoux des gonalgies. Il s’agit juste de mots qui ne révèlent rien sur les origines et les conséquences de vos douleurs. Idem quand un interlocuteur place le suffixe "ite", à la fin d’une partie de votre corps : il estime seulement
que cette zone subie une inflammation. La tendinite pour un tendon, l’iléite pour l’intestin grêle, l’épicondylite pour le coude.
Avec ce même "ite" cette inflammation se teinte d’un soupçon d’infection pour les ostéites (os), les méningites, les amygdalites… Des médecins prescrivent donc des antalgiques contre la douleur, des anti-inflammatoires contre l’inflammation, des antibiotiques contre l’infection… Hélas, ces traitements laissent trop souvent évoluer la maladie en masquant les symptômes, sans faire disparaître ses causes. Pire, s’ils sont donnés trop longtemps, les anti-inflammatoires
s’opposent à deux étapes essentielles de notre guérison, l’inflammation et la cicatrisation. En supprimant notre douleur, les antalgiques nous font dépasser nos limites. En détruisant les "bons" et les "mauvais" microbes, les antibiotiques ouvrent les portes à de futures infections…
LA NOTION DE SYNDROME
Au-delà du seuil de tolérance de l’organisme touché, une cause donnée provoque toujours un certain nombre de douleurs chez tous les individus d’une espèce. À ce syndrome constant peut s’ajouter un syndrome accessoire, regroupant les douleurs qu’elle engendre parfois. Bien que les douleurs de ces deux syndromes soient rarement perçues par ceux chez qui elles sont présentes, un thérapeute entraîné les retrouve rapidement. La fiche initiation à l’ostéopathie, disponible et gratuite sur le site santeintegrative.com, vous aidera dans cette démarche. L’évolution de ces dysfonctions, permet aisément de prouver les divers facteurs susceptibles de nuire à chacun de nous.
Par exemple, une hernie discale L4-L5 peut parfois provoquer une douleur sciatique, ou une lombalgie, ou une paralysie, ou des faiblesses de certains muscles, voire rien du tout. D’autres causes pouvant donner des sciatiques, la chirurgie d’une hernie ne discale soulage pas toujours une sciatique. Cette opération touche la peau, les muscles, les vertèbres et les nerfs de votre dos, ainsi que leurs artères. Elle peut donc elle-même provoquer une sciatique. Lors
des sciatiques, un traitement médical doit toujours être essayé avant la chirurgie. Il ne saurait se limiter à une simple prise de médicaments. Il doit aborder toutes les dimensions du problème, y compris ostéopathiques, psychologiques, professionnelles…
Pourquoi provoquer une douleur
Beaucoup de causes contribuent aux sciatiques. Pour poser le diagnostic, il faut parfois réaliser des tests pour vérifier l’évolution de la douleur grâce aux traitements proposés. Car le patient peut ignorer les circonstances déclenchant ses douleurs comme lors d’une : respiration inadaptée à la position adossée
Elle peut provoquer, entretenir, aggraver ou favoriser ces douleurs. Voyons, si vous lisez cette revue dans de bonnes conditions. Si votre dos s’affale contre un dossier ou un coussin ou sur votre lit… les douleurs du schéma 3 apparaissent si vous respirez avec la région du nombril ou juste au-dessus ou juste au-dessous. Car ces espaces respiratoires ne sont réservés qu’au sommeil, à la sérénité, à la méditation, au détachement envers les choses ou les gens, et pas à la lecture. Le syndrome du schéma 3 s’installe aussi si vous respirez avec les épaules car ces espaces respiratoires ne sont dédiés qu’au stress, à l’épuisement, à l’indifférence, et pas du tout à lire… Qui se mettrait dos au mur en situation de stress ? Ce même syndrome vient si vous respirez avec les côtes postérieures, basses ou hautes. Leurs espaces de respiration se dévouent respectivement à l’agressivité, à la défense du territoire et à exprimer l’humeur du locuteur, et surtout pas à lire. En vous plaçant le dos au mur pour vous défendre, vous limitez vos choix…
que cette zone subie une inflammation. La tendinite pour un tendon, l’iléite pour l’intestin grêle, l’épicondylite pour le coude.
Avec ce même "ite" cette inflammation se teinte d’un soupçon d’infection pour les ostéites (os), les méningites, les amygdalites… Des médecins prescrivent donc des antalgiques contre la douleur, des anti-inflammatoires contre l’inflammation, des antibiotiques contre l’infection… Hélas, ces traitements laissent trop souvent évoluer la maladie en masquant les symptômes, sans faire disparaître ses causes. Pire, s’ils sont donnés trop longtemps, les anti-inflammatoires
s’opposent à deux étapes essentielles de notre guérison, l’inflammation et la cicatrisation. En supprimant notre douleur, les antalgiques nous font dépasser nos limites. En détruisant les "bons" et les "mauvais" microbes, les antibiotiques ouvrent les portes à de futures infections…
LA NOTION DE SYNDROME
Au-delà du seuil de tolérance de l’organisme touché, une cause donnée provoque toujours un certain nombre de douleurs chez tous les individus d’une espèce. À ce syndrome constant peut s’ajouter un syndrome accessoire, regroupant les douleurs qu’elle engendre parfois. Bien que les douleurs de ces deux syndromes soient rarement perçues par ceux chez qui elles sont présentes, un thérapeute entraîné les retrouve rapidement. La fiche initiation à l’ostéopathie, disponible et gratuite sur le site santeintegrative.com, vous aidera dans cette démarche. L’évolution de ces dysfonctions, permet aisément de prouver les divers facteurs susceptibles de nuire à chacun de nous.
Par exemple, une hernie discale L4-L5 peut parfois provoquer une douleur sciatique, ou une lombalgie, ou une paralysie, ou des faiblesses de certains muscles, voire rien du tout. D’autres causes pouvant donner des sciatiques, la chirurgie d’une hernie ne discale soulage pas toujours une sciatique. Cette opération touche la peau, les muscles, les vertèbres et les nerfs de votre dos, ainsi que leurs artères. Elle peut donc elle-même provoquer une sciatique. Lors
des sciatiques, un traitement médical doit toujours être essayé avant la chirurgie. Il ne saurait se limiter à une simple prise de médicaments. Il doit aborder toutes les dimensions du problème, y compris ostéopathiques, psychologiques, professionnelles…
Pourquoi provoquer une douleur
Beaucoup de causes contribuent aux sciatiques. Pour poser le diagnostic, il faut parfois réaliser des tests pour vérifier l’évolution de la douleur grâce aux traitements proposés. Car le patient peut ignorer les circonstances déclenchant ses douleurs comme lors d’une : respiration inadaptée à la position adossée
Elle peut provoquer, entretenir, aggraver ou favoriser ces douleurs. Voyons, si vous lisez cette revue dans de bonnes conditions. Si votre dos s’affale contre un dossier ou un coussin ou sur votre lit… les douleurs du schéma 3 apparaissent si vous respirez avec la région du nombril ou juste au-dessus ou juste au-dessous. Car ces espaces respiratoires ne sont réservés qu’au sommeil, à la sérénité, à la méditation, au détachement envers les choses ou les gens, et pas à la lecture. Le syndrome du schéma 3 s’installe aussi si vous respirez avec les épaules car ces espaces respiratoires ne sont dédiés qu’au stress, à l’épuisement, à l’indifférence, et pas du tout à lire… Qui se mettrait dos au mur en situation de stress ? Ce même syndrome vient si vous respirez avec les côtes postérieures, basses ou hautes. Leurs espaces de respiration se dévouent respectivement à l’agressivité, à la défense du territoire et à exprimer l’humeur du locuteur, et surtout pas à lire. En vous plaçant le dos au mur pour vous défendre, vous limitez vos choix…