LA SPASMOPHILIE
La spasmophilie fait partie de ces maladies émergentes qui sont en constante augmentation dans les pays industrialisés. Les symptômes se manifestent par une série de troubles invalidants, des spasmes, un état anxieux, et une hypersensibilité réactionnelle face au milieu ambiant. Elle touche 20 % de la population
de notre pays, dont 80 % sont des femmes. Pourtant, en Suisse, ce syndrome reste méconnu du grand public et officiellement ignoré par le corps médical.
de notre pays, dont 80 % sont des femmes. Pourtant, en Suisse, ce syndrome reste méconnu du grand public et officiellement ignoré par le corps médical.
UN DISCOURS QUI DÉRANGE
Pourquoi ces nouvelles maladies liées au stress, à l'anxiété et à la dépression frappent-elles de plus en plus de monde et plus précisément nos sociétés bien nanties ? L'apparition de ces nouveaux problèmes de santé est imputable à l’augmentation des diverses pollutions en relation avec l’évolution de la société
industrielle. Une foule de substances nocives, répandues partout dans la nature, s'introduisent insidieusement dans notre organisme, engendrant des troubles qui altèrent tant notre fonctionnement corporel que notre sphère psychoaffective ou spirituelle. L'évolution n'a pas prévu qu'en moins d'un siècle notre environnement serait submergé d'un flot continu de toxiques. Métaux lourds, pesticides, additifs alimentaires offrent un cocktail particulièrement indigeste pour notre système immunitaire.
S’y ajoutent les aliments contaminés par la radioactivité, les produits raffinés appauvris en substances actives, sans compter les médicaments, antibiotiques, vaccins et pilules anticonceptionnelles qui font partie du menu quotidien. Au nom de la modernité, on prétend qu'il faut s'adapter à ces nouvelles donnes. Mais, notre organisme n'a pas eu le temps de trouver des solutions pour faire face à cette situation. Il ne sait que faire de toutes ces nouvelles molécules qui, en s'accumulant, sont impliquées dans l'apparition de ces nouvelles maladies dites de civilisation et antichambres du cancer.
L'état de notre santé est aussi directement lié à celui de notre "Terre Nourricière" que l'agriculture productiviste est en train de transformer en fée carabosse chimique. Ces techniques contribuent à épuiser et contaminer les sols, polluent l'eau et par conséquent dégradent et dévitalisent notre nourriture. Les statistiques le prouvent, la plupart des individus des pays industrialisés souffrent comme les populations du Tiers-Monde de carences minérales sévères en nutriments spécifiques essentiels. C’est particulièrement le cas du magnésium qui joue un rôle majeur dans la gestion du stress et qui est un élément
clé de la prévention du cancer, et du zinc nécessaire à la reproduction, tous deux étant impliqués dans la spasmophile et les maladies associées.
En stimulant notre système immunitaire, les vitamines, minéraux et oligo-éléments, substances biocompatibles et adaptées à notre organisme, permettent d'antidoter l'effet de ces nuisances et même de soigner ces nouvelles maladies. Recourir à ces nutriments bénéfiques permet d'entretenir à peu de frais notre capital-santé et contribue à la bonification de notre capital-vie. Malheureusement, dans un système où information et santé sont gérées comme des industries, la prévention et les médecines complémentaires qui utilisent des thérapies simples, efficaces et bon marché sont systématiquement mises au ban, au profit d’une pharmacopée lourde, toxique et onéreuse qui contribue à alourdir les charges des assurances-maladie, mais fait rouler le commerce pharmaceutique.
Pour les gouvernants, la santé doit être considérée comme un des moteurs de la relance économique. En fait, il s'agit de promouvoir à tout prix ce qui rapporte de l'argent : pharmacologie, biotechnologie, vaccins, OGM, etc.
industrielle. Une foule de substances nocives, répandues partout dans la nature, s'introduisent insidieusement dans notre organisme, engendrant des troubles qui altèrent tant notre fonctionnement corporel que notre sphère psychoaffective ou spirituelle. L'évolution n'a pas prévu qu'en moins d'un siècle notre environnement serait submergé d'un flot continu de toxiques. Métaux lourds, pesticides, additifs alimentaires offrent un cocktail particulièrement indigeste pour notre système immunitaire.
S’y ajoutent les aliments contaminés par la radioactivité, les produits raffinés appauvris en substances actives, sans compter les médicaments, antibiotiques, vaccins et pilules anticonceptionnelles qui font partie du menu quotidien. Au nom de la modernité, on prétend qu'il faut s'adapter à ces nouvelles donnes. Mais, notre organisme n'a pas eu le temps de trouver des solutions pour faire face à cette situation. Il ne sait que faire de toutes ces nouvelles molécules qui, en s'accumulant, sont impliquées dans l'apparition de ces nouvelles maladies dites de civilisation et antichambres du cancer.
L'état de notre santé est aussi directement lié à celui de notre "Terre Nourricière" que l'agriculture productiviste est en train de transformer en fée carabosse chimique. Ces techniques contribuent à épuiser et contaminer les sols, polluent l'eau et par conséquent dégradent et dévitalisent notre nourriture. Les statistiques le prouvent, la plupart des individus des pays industrialisés souffrent comme les populations du Tiers-Monde de carences minérales sévères en nutriments spécifiques essentiels. C’est particulièrement le cas du magnésium qui joue un rôle majeur dans la gestion du stress et qui est un élément
clé de la prévention du cancer, et du zinc nécessaire à la reproduction, tous deux étant impliqués dans la spasmophile et les maladies associées.
En stimulant notre système immunitaire, les vitamines, minéraux et oligo-éléments, substances biocompatibles et adaptées à notre organisme, permettent d'antidoter l'effet de ces nuisances et même de soigner ces nouvelles maladies. Recourir à ces nutriments bénéfiques permet d'entretenir à peu de frais notre capital-santé et contribue à la bonification de notre capital-vie. Malheureusement, dans un système où information et santé sont gérées comme des industries, la prévention et les médecines complémentaires qui utilisent des thérapies simples, efficaces et bon marché sont systématiquement mises au ban, au profit d’une pharmacopée lourde, toxique et onéreuse qui contribue à alourdir les charges des assurances-maladie, mais fait rouler le commerce pharmaceutique.
Pour les gouvernants, la santé doit être considérée comme un des moteurs de la relance économique. En fait, il s'agit de promouvoir à tout prix ce qui rapporte de l'argent : pharmacologie, biotechnologie, vaccins, OGM, etc.
QUEL HÉRITAGE POUR LES GÉNÉRATIONS FUTURES ?
Des médecins courageux et des scientifiques reconnus l'affirment: cette pollution omniprésente met l'humanité en danger mortel ! Mais qui les écoute ? Nous ne pouvons croire que l'évolution, après sept millions d'années, aboutisse à ce que l'homme passe l'essentiel de son existence à rafistoler sa santé à l'aide de multiples béquilles.
Notre association se veut une plate-forme d'expression libre,indépendante de toute pression. Nous considérons que la santé n'est pas une marchandise, et nos adhérents refusent d'être les cobayes des lobbies pharmaceutiques ; c'est pourquoi nous donnons notre préférence à une médecine éthique, écologique et globale, en favorisant la diffusion et l'accès à toute thérapie innovante, même lorsque cette dernière n'a pas reçu l'aval de la médecine conventionnelle, pour autant qu'elle respecte les critères d'objectivité scientifique, d'innocuité, d'éthique, et favorise la prévention.
Notre association se veut une plate-forme d'expression libre,indépendante de toute pression. Nous considérons que la santé n'est pas une marchandise, et nos adhérents refusent d'être les cobayes des lobbies pharmaceutiques ; c'est pourquoi nous donnons notre préférence à une médecine éthique, écologique et globale, en favorisant la diffusion et l'accès à toute thérapie innovante, même lorsque cette dernière n'a pas reçu l'aval de la médecine conventionnelle, pour autant qu'elle respecte les critères d'objectivité scientifique, d'innocuité, d'éthique, et favorise la prévention.