Sophrologie: la faiblesse de certaines formations

Il semble impératif de savoir précisément à quoi on reconnaît un « vrai » sophrologue et quelles sont les formations qui permettent d’exercer cette profession. Autrement dit, savoir détecter le vrai du faux car de nombreuses méthodes et formations douteuses ont vu le jour.



Michèle Declerck, psychologue et sophrologue (Paris) se propose de définir les critères qui permettent de déterminer ce qu’est un « vrai » sophrologue. Si le praticien dispose uniquement de la qualification « sophrologue », il doit par exemple être nécessairement inscrit dans l’annuaire d’une des sociétés reconnues. Mais également participer à un stage en institution, à un groupe de formation continue ou bien à activité bénévole. Ce qui permet de couper court à toute pratique fantaisiste.
La sophrologie ne se limite pas seulement à la gestion du stress, elle recouvre des champs divers tant au niveau médical que psychopathologique. La notion d’aide est au cœur des relations entre praticien et patient.
En ce qui concerne la formation, il faut privilégier le long terme, c’est-à-dire suivre au moins 300 heures de cours reparties sur trois années d’études. Une fois la formation validée, la participation à un groupe de formation continue est vivement recommandée à l’entrée dans la vie professionnelle. Ainsi, la formation à la sophrologie s’inscrit obligatoirement sur le long terme car son apprentissage doit prendre du temps pour assimiler connaissance et outils.

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Rédigé le 15/10/2013 à 15:52 modifié le 15/10/2013

Journaliste spécialisée en Médecines Alternatives et Complémentaires En savoir plus sur cet auteur

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