Changement d’habitudes et bonne adaptation apparente mènent l’un comme l’autre du stress aux MCV
Dans quel contexte le mécanisme physiologique décrit plus haut intervient-t-il ? Autrement dit, comment passe-t-on du stress à la disposition à l’angine de poitrine ou à l’infarctus ?
On peut schématiser les choses en distinguant deux voies possibles :
La première, liée à l’attitude du sujet : soumises à un stress important, de nombreuses personnes sont incitées à changer de comportement et à adopter de mauvaises habitudes. Parmi lesquelles on observe entre autres le fait de manger plus, plus sucré et plus gras, le fait de boire davantage d’alcool et celui de pratiquer moins d’activité physique.