De nombreux chercheurs se sont consacrés à l'étude et aux traitements des céphalées. L'hypersensibilité à certains facteurs a été avancée pour expliquer ces crises qui sont parfois vécues comme un véritable handicap. Sans prétendre révolutionner cette branche médicale, cet article présente des migraines qui récidivent surtout les jours de repos.
Lorsque la géométrie oculaire n'est pas parfaite, il arrive que le muscle oblique supérieur de l'œil tente de compenser ce défaut. Si ce handicap est important, des troubles sont ressentis, et ils sont corrigés par des lunettes, des lentilles ou par une opération. Par contre, quand ce défaut est très léger, il passe souvent inaperçu, tout en nous contraignant à forcer en permanence.
Alors, sans que nous le sachions, notre muscle oblique supérieur se contracte. Or compte tenu de son anatomie, ce muscle coulisse sur une saillie osseuse qui est, fort justement, appelée la trochlée de réflexion de l'oblique supérieur de l'œil. Hélas, entre ce muscle et sa trochlée, chemine le nerf de l'oblique supérieur de l'œil dont des branches ne se détachent que lorsque leurs fibres ont franchi ce véritable goulet d'étranglement.
Certaines innervent le muscle oblique supérieur de l'œil, tandis que d'autres sont destinées aux vaisseaux qui irriguent la surface extérieure du globe oculaire. Donc, dès que ce muscle se contracte trop, il lèse son nerf dont les fibres effectuent de très complexes pérégrinations pour arriver à leur destination. Leurs neurones sont situés dans le ganglion stellaire homolatéral. Ce centre neurologique ortho sympathique correspond au chakra laryngé, et il contribue à gérer la thyroïde, des parathyroïdes, le métabolisme du calcium, du magnésium et du manganèse, des artères de l'oreille interne et du cerveau ...
La douleur retrouvée sur la trochlée de réflexion de l'oblique supérieur de l'œil installe aussitôt une spirale infernale. Elle provoque un dysfonctionnement du ganglion stellaire qui libère alors les neuromédiateurs responsables de l'hypervigilance et son cortège vasomoteur. Les céphalées ainsi engendrées, sont associées à une perte de Magnésium et/ou de Manganèse et/ou de Calcium. Ces carences favorisent l'hypersensibilité et ses spasmes musculaires, l'inhibition du diaphragme et ses compensations respiratoires, etc.
Tous ces symptômes se répercutent en priorité sur la charnière cervico-dorsale, mais aussi sur les jonctions dorso-lombaires et/ou lombo-sacrées. Ils favorisent la contraction des muscles trapèzes qui, hélas, recouvrent les fameux ganglions stellaires. Quand ils sont ainsi comprimés, ces deux centres nerveux orthosympathiques ne laisseront plus se relâcher les muscles obliques supérieurs. Si le repos, l'obscurité et l'épuisement finissent par apaiser ces douleurs, il arrive que des patients soient soulagés par des médicaments, à condition de les prendre au bon moment.
Durant notre sommeil, tous nos muscles se relâchent sauf ceux de nos yeux qui bougent à toute vitesse lorsque nous rêvons. Ces crises se déclenchent donc plus volontiers lors des grasses matinées des jours de repos. Car, dans ces conditions, nous avons des phases de sommeil paradoxal supplémentaires qui sollicitent nos muscles oculaires plus que de coutume. Pour éviter ces migraines nous pouvons nous résigner à nous lever comme d'habitude mais certains préféreront, peut-être, les faire disparaître en massant tous les jours leurs trochlées de réflexion.
Ces traitements seront avantageusement complétés par une rééducation orthoptique qui a déjà été proposée dans un précédent numéro. Ces professionnels de santé sont à même de prendre des mesures complémentaires lorsqu'un geste plus important est indiqué. Plus difficile, mais tout aussi intéressante et efficace, la rééducation respiratoire parachève la guérison. Elle a été abordée lors de des précédents numéros, et nous la développerons dans de prochains articles.
Lorsque la géométrie oculaire n'est pas parfaite, il arrive que le muscle oblique supérieur de l'œil tente de compenser ce défaut. Si ce handicap est important, des troubles sont ressentis, et ils sont corrigés par des lunettes, des lentilles ou par une opération. Par contre, quand ce défaut est très léger, il passe souvent inaperçu, tout en nous contraignant à forcer en permanence.
Alors, sans que nous le sachions, notre muscle oblique supérieur se contracte. Or compte tenu de son anatomie, ce muscle coulisse sur une saillie osseuse qui est, fort justement, appelée la trochlée de réflexion de l'oblique supérieur de l'œil. Hélas, entre ce muscle et sa trochlée, chemine le nerf de l'oblique supérieur de l'œil dont des branches ne se détachent que lorsque leurs fibres ont franchi ce véritable goulet d'étranglement.
Certaines innervent le muscle oblique supérieur de l'œil, tandis que d'autres sont destinées aux vaisseaux qui irriguent la surface extérieure du globe oculaire. Donc, dès que ce muscle se contracte trop, il lèse son nerf dont les fibres effectuent de très complexes pérégrinations pour arriver à leur destination. Leurs neurones sont situés dans le ganglion stellaire homolatéral. Ce centre neurologique ortho sympathique correspond au chakra laryngé, et il contribue à gérer la thyroïde, des parathyroïdes, le métabolisme du calcium, du magnésium et du manganèse, des artères de l'oreille interne et du cerveau ...
La douleur retrouvée sur la trochlée de réflexion de l'oblique supérieur de l'œil installe aussitôt une spirale infernale. Elle provoque un dysfonctionnement du ganglion stellaire qui libère alors les neuromédiateurs responsables de l'hypervigilance et son cortège vasomoteur. Les céphalées ainsi engendrées, sont associées à une perte de Magnésium et/ou de Manganèse et/ou de Calcium. Ces carences favorisent l'hypersensibilité et ses spasmes musculaires, l'inhibition du diaphragme et ses compensations respiratoires, etc.
Tous ces symptômes se répercutent en priorité sur la charnière cervico-dorsale, mais aussi sur les jonctions dorso-lombaires et/ou lombo-sacrées. Ils favorisent la contraction des muscles trapèzes qui, hélas, recouvrent les fameux ganglions stellaires. Quand ils sont ainsi comprimés, ces deux centres nerveux orthosympathiques ne laisseront plus se relâcher les muscles obliques supérieurs. Si le repos, l'obscurité et l'épuisement finissent par apaiser ces douleurs, il arrive que des patients soient soulagés par des médicaments, à condition de les prendre au bon moment.
Durant notre sommeil, tous nos muscles se relâchent sauf ceux de nos yeux qui bougent à toute vitesse lorsque nous rêvons. Ces crises se déclenchent donc plus volontiers lors des grasses matinées des jours de repos. Car, dans ces conditions, nous avons des phases de sommeil paradoxal supplémentaires qui sollicitent nos muscles oculaires plus que de coutume. Pour éviter ces migraines nous pouvons nous résigner à nous lever comme d'habitude mais certains préféreront, peut-être, les faire disparaître en massant tous les jours leurs trochlées de réflexion.
Ces traitements seront avantageusement complétés par une rééducation orthoptique qui a déjà été proposée dans un précédent numéro. Ces professionnels de santé sont à même de prendre des mesures complémentaires lorsqu'un geste plus important est indiqué. Plus difficile, mais tout aussi intéressante et efficace, la rééducation respiratoire parachève la guérison. Elle a été abordée lors de des précédents numéros, et nous la développerons dans de prochains articles.
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