Un argument en faveur de cette conception vient des recherches sur le récepteur 5HT1A de la sérotonine, expliquent les auteurs, Paul W. Andrews et J. Anderson Thomson Jr de l'Université de Virginie. La sérotonine est un neurotransmetteur grandement impliqué dans la dépression et est la cible la plupart des antidépresseurs.
Les rongeurs qui ont un faible niveau de 5HT1A présentent moins de symptômes dépressifs en réponse au stress, ce qui suggère que ce récepteur est impliqué dans le développement de la dépression. (Les compagnies pharmaceutiques sont en train de concevoir une prochaine génération d'antidépresseurs qui ciblent ce récepteur).
Les personnes en dépression pensent souvent intensément à leurs problèmes. Ces pensées sont appelées ruminations; elles sont persistantes et les personnes déprimées ont de la difficulté à penser à autre chose. Plusieurs études ont montré que ce style de pensée est souvent très analytique, séparant un problème complexe en éléments plus petits qui sont considérés un à la fois.
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Source : http://www.psychotherapie.fr/Depression,-traitemen...
Les rongeurs qui ont un faible niveau de 5HT1A présentent moins de symptômes dépressifs en réponse au stress, ce qui suggère que ce récepteur est impliqué dans le développement de la dépression. (Les compagnies pharmaceutiques sont en train de concevoir une prochaine génération d'antidépresseurs qui ciblent ce récepteur).
Les personnes en dépression pensent souvent intensément à leurs problèmes. Ces pensées sont appelées ruminations; elles sont persistantes et les personnes déprimées ont de la difficulté à penser à autre chose. Plusieurs études ont montré que ce style de pensée est souvent très analytique, séparant un problème complexe en éléments plus petits qui sont considérés un à la fois.
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