Nous ne pouvions pas passer sous silence cette information plus longtemps.
Mais avertir nos lecteurs. Au mois de novembre 2014, nous avions été attaqué en diffamation par un pseudo thérapeute. En cause ? Un article publié sur l’un de nos sites, medecines-douces.com « Hypnose de rue : le scandale ! ». Et plus précisément un commentaire jugé diffamant, paru suite à cet article.
Pour la petite histoire, le dénommé Jérôme ETTZEVOGLOV, celui qui a "copyrighté" le terme hypnose intégrative ® a heureusement été débouté de son action en justice par 2 fois (il a aussi perdu en appel)
Fallait-il que nous nous taisions lorsque ce personnage préconise à « pousser le sujet à se réfugier dans l’hypnose » ?
Fallait-il que nous nous taisions lorsqu’il pratique un exercice qui « interdit au sujet toute manifestation instinctive d’esprit de survie face à un danger potentiel » ?
C’est parce que nous avons confiance en la justice et par protection de nos patients que nous avançons sereins, et que nous savons que vous nous apporterez votre soutien, comme l’ont fait d’éminents professeurs en médecine.
En tant que site internet, adhérent de la charte HON Code en relation avec des organisations officielles, avec la Haute Autorité de Santé (HAS), nous sommes tenus de dénoncer les pratiques douteuses.
Ne pas dénoncer de tels agissements, c’est les valider, les accepter, et de cautionner l’emprise de pseudos soignants dépourvus d’acquis validés, et de cautionner l’atteinte à l’intégrité mentale et à la dignité humaine, ce qui est un crime.
En tant que responsables d'un site de santé, personne ne peut nous détacher de notre devoir, de nos obligations …
de notre devoir, de nos obligations, de dénoncer les viols,
de notre devoir, de nos obligations, de dénoncer les atteintes à l'intégrité de mes semblables,
de notre devoir, de nos obligations, de dénoncer les emprises psychologiques,
de notre devoir, de nos obligations, de dénoncer les mots, de dénoncer les gestes, de dénoncer les intentions de prise de possession, de prise de pouvoir,
de notre devoir, de nos obligations, de dénoncer les atteintes à la dignité humaine.
Et si nous devions manquer à cette règle élémentaire, alors nous serions accusés de Non Assistance à personne en Danger.
Et si nous devions manquer à cette règle élémentaire, chaque jour le serment d’Hippocrate nous rappelle que : « Que je sois couvert d'opprobre et méprisé de mes confrères si j'y manque »
Le Conseil Constitutionnel a élevé la dignité au rang de « principe à valeur constitutionnelle » en1994 au sujet de la loi dite de bioéthique. La dignité est considérée comme partie intégrante des droits de la personnalité, qui sont inaliénables.
La manipulation mentale par un dérapeuthe serait une entrave et un crime à ce droit sacré.
Alors, chers internautes, ne pas condamner le Viol, c’est autoriser l’atteinte à la dignité humaine, et se rendre complice de crime.
Vraiment, en notre âme et conscience, nous ne pouvions pas…
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