Ceci n’est que la face visible de l’iceberg. Des milliers de patients souffrant de maladies non visibles, pas forcément psychiatriques, les supportent dans l’indifférence générale. Il s’agit, le plus souvent, de maladies chroniques, caractérisées par une souffrance extérieure non objectivable.
Pas de déformations corporelles visibles ou de perturbations des examens complémentaires standards !
Les malades atteints d’affections chroniques, surtout lorsqu’elles touchent au neuropsychologique, sont en situation d’abandon thérapeutique.
Comme aucune proposition cohérente n’est avancée, ils sont surmédicamentés ou tout simplement ignorés dans l’attente d’une mort qui mettra définitivement un terme à leur souffrance. Quelques spécialistes tentent des approches plus globales, mais cela est-il suffisant en comparaison des millions de patients concernés ?
La chronicité d’une affection nécessite une approche globale, nutritionnelle, sociale, psychologique et spirituelle. Le médicament n’est qu’une béquille en attendant une véritable prise en charge intégrative.
La médecine à deux vitesses ne se situe pas où l’on croit. Dépenser des milliers d’euros par jour, pour le traitement d’un cancer, d’une polyarthrite rhumatoïde ou d’une sclérose en plaques, semble normal.
Quand il s’agit de quelques dizaines d’euros par semaine, pour une psychothérapie ou pour corriger des carences nutritionnelles, la sécurité sociale est aux abonnés absents.
Cette distinction n’est pas l’apanage de notre système de soins. J’ai plusieurs fois entendu des patients ou patientes me raconter la merveilleuse attention dont ils étaient l’objet de la part de leur famille quand il annonçait un cancer.
Ceci contrastait avec l’indifférence ou le mépris de leur entourage, quelques mois auparavant, alors qu’ils enduraient une fatigue chronique ou étaient envahis par des douleurs de fibromyalgie.
Il y a effectivement maladies et maladies. Certaines semblent justifier des investissements financiers, sociaux, médicaux et psychologiques et d’autres, pas ou peu. Pourquoi cette distinction ? Le degré de souffrance est indépendant du type de maladie.
Pas de déformations corporelles visibles ou de perturbations des examens complémentaires standards !
Les malades atteints d’affections chroniques, surtout lorsqu’elles touchent au neuropsychologique, sont en situation d’abandon thérapeutique.
Comme aucune proposition cohérente n’est avancée, ils sont surmédicamentés ou tout simplement ignorés dans l’attente d’une mort qui mettra définitivement un terme à leur souffrance. Quelques spécialistes tentent des approches plus globales, mais cela est-il suffisant en comparaison des millions de patients concernés ?
La chronicité d’une affection nécessite une approche globale, nutritionnelle, sociale, psychologique et spirituelle. Le médicament n’est qu’une béquille en attendant une véritable prise en charge intégrative.
La médecine à deux vitesses ne se situe pas où l’on croit. Dépenser des milliers d’euros par jour, pour le traitement d’un cancer, d’une polyarthrite rhumatoïde ou d’une sclérose en plaques, semble normal.
Quand il s’agit de quelques dizaines d’euros par semaine, pour une psychothérapie ou pour corriger des carences nutritionnelles, la sécurité sociale est aux abonnés absents.
Cette distinction n’est pas l’apanage de notre système de soins. J’ai plusieurs fois entendu des patients ou patientes me raconter la merveilleuse attention dont ils étaient l’objet de la part de leur famille quand il annonçait un cancer.
Ceci contrastait avec l’indifférence ou le mépris de leur entourage, quelques mois auparavant, alors qu’ils enduraient une fatigue chronique ou étaient envahis par des douleurs de fibromyalgie.
Il y a effectivement maladies et maladies. Certaines semblent justifier des investissements financiers, sociaux, médicaux et psychologiques et d’autres, pas ou peu. Pourquoi cette distinction ? Le degré de souffrance est indépendant du type de maladie.