La santé environnementale a été définie lors de la conférence d’Helsinki en 1994 : « la santé environnementale comprend les aspects de la santé humaine (y compris la qualité de la vie) qui sont déterminés par les facteurs physiques, chimiques, biologiques, sociaux, psychosociaux et esthétiques de notre environnement; elle concerne également la politique et les pratiques de gestion, de résorption, de contrôle et de prévention des facteurs environnementaux susceptibles d’affecter la santé des générations actuelles et futures ».
J’ai rédigé cet article en tant que médecin spécialisé en médecines "écologiques" dites aussi alternatives, et en tant que présidentede la CNMSE : Coordination Nationale Médicale Santé Environnement. Santé et environnement me semblent indissociables. De nombreux facteurs, ondes, perturbateurs endocriniens, médicaments, vaccins, cosmétiques, amalgames dentaires, etc., agissent sur l’homme comme des perturbateurs. Ils vont déranger les réactions biochimiques habituelles, soit en les accélérant, soit en les ralentissant, soit en les bloquant. Les pollutions de l’air, de l’eau, de l’alimentation et de la terre ont des effets délétères sur la santé très semblables.
J’ai rédigé cet article en tant que médecin spécialisé en médecines "écologiques" dites aussi alternatives, et en tant que présidentede la CNMSE : Coordination Nationale Médicale Santé Environnement. Santé et environnement me semblent indissociables. De nombreux facteurs, ondes, perturbateurs endocriniens, médicaments, vaccins, cosmétiques, amalgames dentaires, etc., agissent sur l’homme comme des perturbateurs. Ils vont déranger les réactions biochimiques habituelles, soit en les accélérant, soit en les ralentissant, soit en les bloquant. Les pollutions de l’air, de l’eau, de l’alimentation et de la terre ont des effets délétères sur la santé très semblables.
QUELQUES MOTS SUR LA DIGESTION, SUR LES FACTEURS QUI LIMITENT SON ASSIMILATION ET SUR QUELQUES SOLUTIONS PAR LES MÉDECINES ÉCOLOGIQUES
Les aliments ingérés vont devoir être réduits en éléments plus petits qui pourront ainsi être absorbés par la muqueuse digestive puis transportés aux différentes cellules. L’assimilation consiste à "rendre semblable" ; pour le système digestif, c’est le processus par lequel les êtres organisés transforment en leur propre substance les matières qu’ils absorbent. De nombreux facteurs peuvent perturber le processus digestif (les traumatismes, les opérations, les voyages à l’étranger, etc.), certains sont dus à l’environnement :
-La pollution par les antennes relais téléphoniques, les ondes des téléphones portables et les irradiations nucléaires : ces phénomènes invisibles bloquent de nombreux processus enzymatiques cellulaires.
À noter que les scanners et les radiographies sont des actes diagnostiques porteurs de risques. Ils utilisent des rayons X qui favorisent la cancérisation. Si l’on pratique ces examens, c’est qu’on leur attribue un service santé et qu’on estime que les ondes de rayonnements sont trop faibles pour présenter un réel danger. Or, deux études, l’une publiée dans Jama (juin 2012), l’autre dans The Lancet (août 2012) rappellent que le risque faible est un risque réel, qui augmente avec la multiplication des examens irradiants.
La question à se poser est celle du bénéfice/risque. Il est nécessaire d’éviter les radios dont l’utilité est discutable ; un risque statistiquement faible pour une population peut devenir un risque important pour une personne donnée dans un contexte donné. On peut citer des remèdes qui minimisent les effets secondaires des radiations : en homéopathie, iodum, radium bromatum, uranium nitricum, rayon X, en phytothérapie, le ginkgo biloba, le miso, les algues et pour finir l’argile verte.
-La prise de certains médicaments et tout particulièrement les antibiotiques, (penser aux aliments qui en contiennent ou y ont été soumis : viandes, oeufs, laitages) agissent en détruisant la flore intestinale et en modifiant la sécrétion biliaire.
-Les métaux lourds et toxiques (cadmium, plomb, mercure, nickel, chrome, aluminium) sont des polluants fréquemment présents dans notre environnement (gaz d’échappement, fumée de tabac, aliments, eau, vaccins, amalgames dentaires, etc.). Ils empêchent des oligoéléments indispensables comme le zinc, le cuivre, le fer, le calcium ou le magnésium de pénétrer dans les cellules. Ils sont aussi pro-oxydants : ils favorisent la création de radicaux libres, facteurs de vieillissement et d’altération des cellules.
Pour libérer l’organisme des métaux lourds, il faut un produit capable de les déloger de leurs zones de stockage puis de les chélater et de les conduire vers une porte de sortie : le glutathion, la taurine, la méthionine, le sélénium, le zinc, la coriandre, la chlorelle, l’acide alpha lipoïque, certains remèdes homéopathiques, la zéolite.
L’idéal est de faire un bilan avant traitement pour savoir :
- s’il y a des métaux lourds en excès dans l’organisme et si oui, lesquels ?
-comment fonctionnent les émonctoires : foie , reins, intestins.
- s’il existe des carences ou des excès de minéraux.
Il faut s’assurer du bon fonctionnement des émonctoires avant de vouloir libérer les métaux lourds. Sinon, il risque d’y avoir des effets indésirables !
Il est souhaitable de remettre à niveau les minéraux déficients par l’alimentation et/ou par des compléments alimentaires quand les niveaux sont trop bas :
-un excès d’aluminium entraîne souvent une carence en silicium,
-un excès de mercure entraîne souvent une carence en sélénium.
Le zinc intervient comme protecteur du cerveau vis-à-vis de l’intoxication aux métaux lourds et en particulier pour l’aluminium.
-Les polluants comme les pesticides et les insecticides :
Une étude hospitalière faite par le Professeur Sultan, médecin endocrinologue à l’INSERM de Montpellier, nous apprend que l’on a retrouvé dans le cordon ombilical de bébés jusqu’à 50 polluants connus dont des phtalates, de la dioxine et des pesticides. Il en a conclu entre autres que « c’est la première fois au
monde qu’une génération donne naissance à des enfants en moins bonne santé que la génération précédente » ; Ces polluants sont des perturbateurs endocriniens c’est-à-dire des molécules qui imitent les hormones et qui prennent leur place. Ils sont responsables de nombre de maladies chroniques
non infectieuses : cardiovasculaires, cancers (on parle alors de cancers chimiques : les statistiques de la Sécurité Sociale du monde agricole montre un pourcentage de 30 % de plus de cancers digestifs chez les agriculteurs), maladies de système, Parkinson, Alzheimer, asthme, diabète, obésité, allergies et maladies neurologiques, etc.
Eléments qui caractérisent les pesticides :
- La dose ne fait pas le poison ; au contraire, ce sont des petites doses, bien au-dessous des normes de réglementation ! qui sont les plus toxiques.
- C’est le temps d’exposition qui est important ainsi que le moment de l’exposition : le foetus et le nourrisson sont les plus vulnérables.
- L’effet cocktail : les effets de plusieurs perturbateurs endocriniens combinés sont plus importants que la somme de chacun.
-La pollution par les antennes relais téléphoniques, les ondes des téléphones portables et les irradiations nucléaires : ces phénomènes invisibles bloquent de nombreux processus enzymatiques cellulaires.
À noter que les scanners et les radiographies sont des actes diagnostiques porteurs de risques. Ils utilisent des rayons X qui favorisent la cancérisation. Si l’on pratique ces examens, c’est qu’on leur attribue un service santé et qu’on estime que les ondes de rayonnements sont trop faibles pour présenter un réel danger. Or, deux études, l’une publiée dans Jama (juin 2012), l’autre dans The Lancet (août 2012) rappellent que le risque faible est un risque réel, qui augmente avec la multiplication des examens irradiants.
La question à se poser est celle du bénéfice/risque. Il est nécessaire d’éviter les radios dont l’utilité est discutable ; un risque statistiquement faible pour une population peut devenir un risque important pour une personne donnée dans un contexte donné. On peut citer des remèdes qui minimisent les effets secondaires des radiations : en homéopathie, iodum, radium bromatum, uranium nitricum, rayon X, en phytothérapie, le ginkgo biloba, le miso, les algues et pour finir l’argile verte.
-La prise de certains médicaments et tout particulièrement les antibiotiques, (penser aux aliments qui en contiennent ou y ont été soumis : viandes, oeufs, laitages) agissent en détruisant la flore intestinale et en modifiant la sécrétion biliaire.
-Les métaux lourds et toxiques (cadmium, plomb, mercure, nickel, chrome, aluminium) sont des polluants fréquemment présents dans notre environnement (gaz d’échappement, fumée de tabac, aliments, eau, vaccins, amalgames dentaires, etc.). Ils empêchent des oligoéléments indispensables comme le zinc, le cuivre, le fer, le calcium ou le magnésium de pénétrer dans les cellules. Ils sont aussi pro-oxydants : ils favorisent la création de radicaux libres, facteurs de vieillissement et d’altération des cellules.
Pour libérer l’organisme des métaux lourds, il faut un produit capable de les déloger de leurs zones de stockage puis de les chélater et de les conduire vers une porte de sortie : le glutathion, la taurine, la méthionine, le sélénium, le zinc, la coriandre, la chlorelle, l’acide alpha lipoïque, certains remèdes homéopathiques, la zéolite.
L’idéal est de faire un bilan avant traitement pour savoir :
- s’il y a des métaux lourds en excès dans l’organisme et si oui, lesquels ?
-comment fonctionnent les émonctoires : foie , reins, intestins.
- s’il existe des carences ou des excès de minéraux.
Il faut s’assurer du bon fonctionnement des émonctoires avant de vouloir libérer les métaux lourds. Sinon, il risque d’y avoir des effets indésirables !
Il est souhaitable de remettre à niveau les minéraux déficients par l’alimentation et/ou par des compléments alimentaires quand les niveaux sont trop bas :
-un excès d’aluminium entraîne souvent une carence en silicium,
-un excès de mercure entraîne souvent une carence en sélénium.
Le zinc intervient comme protecteur du cerveau vis-à-vis de l’intoxication aux métaux lourds et en particulier pour l’aluminium.
-Les polluants comme les pesticides et les insecticides :
Une étude hospitalière faite par le Professeur Sultan, médecin endocrinologue à l’INSERM de Montpellier, nous apprend que l’on a retrouvé dans le cordon ombilical de bébés jusqu’à 50 polluants connus dont des phtalates, de la dioxine et des pesticides. Il en a conclu entre autres que « c’est la première fois au
monde qu’une génération donne naissance à des enfants en moins bonne santé que la génération précédente » ; Ces polluants sont des perturbateurs endocriniens c’est-à-dire des molécules qui imitent les hormones et qui prennent leur place. Ils sont responsables de nombre de maladies chroniques
non infectieuses : cardiovasculaires, cancers (on parle alors de cancers chimiques : les statistiques de la Sécurité Sociale du monde agricole montre un pourcentage de 30 % de plus de cancers digestifs chez les agriculteurs), maladies de système, Parkinson, Alzheimer, asthme, diabète, obésité, allergies et maladies neurologiques, etc.
Eléments qui caractérisent les pesticides :
- La dose ne fait pas le poison ; au contraire, ce sont des petites doses, bien au-dessous des normes de réglementation ! qui sont les plus toxiques.
- C’est le temps d’exposition qui est important ainsi que le moment de l’exposition : le foetus et le nourrisson sont les plus vulnérables.
- L’effet cocktail : les effets de plusieurs perturbateurs endocriniens combinés sont plus importants que la somme de chacun.
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