Pensez-vous que l’avortement laisse des traces difficiles à vivre chez les femmes ? 85,5 % des interrogés y répondent par l’affirmative (BVA). Si la culpabilité éprouvée parfois consciemment par les femmes ayant eu recours à l’IVG est d’ordre social ou éventuellement religieux, elle naît en réalité toujours, et le plus souvent inconsciemment, du refus de donner la vie. Quand on prend conscience de la profondeur des empreintes laissées par une interruption de grossesse, on ne peut que se réjouir et se sentir soulagé qu’il existe pour toutes ces femmes un moyen de se réparer.
Ne pas subir et faire subir toute leur vie durant les conséquences d’un instant. Au mieux de désir, au pire de violence. Le REL développé par Georges Romey initie un processus d’auto-guérison permettant à la femme qui a avorté de se délester du poids d’une trahison vis-à-vis de la vie.
Rêver lui permet de reprendre le cours de Sa vie dans de meilleures conditions, c’est aussi un moyen de se réconcilier avec le mouvement de La Vie, du Vivant en elle. Rêver c’est aussi libérer ses enfants. Quand l’un des maillons se met en vibration, toute la chaîne de vie entre en résonance…