Hier matin, en sortant de chez moi j’ai croisé mon voisin viticulteur. Enfin je crois que c’était lui, ses traits étaient dissimulés sous un casque intégral relié à une bouteille d’air comprimé. C’est le matériel nécessaire pour traiter les vignes. Plus exactement c’est le matériel indispensable pour se protéger des pesticides répandus en quantité sur les vignes alentour. C’est dire si le traitement doit être efficace. Ce sont les soldes ! Tout doit disparaître ! Pas d’herbes folles ! On vide les rayons pour faire de la place. Net et propre…
Cette formule qui me rappelle les leçons de morale que l’on nous dispensait à l’école communale me paraît rétrospectivement prophétique. De l’hygiène, de la bonne, de celle qui éradique. Et qui favorise les résistances.
Est-il possible de comparer ce qui est déversé dans nos champs et de façon indirecte dans nos verres et assiettes avec ces informations alarmantes qui par glissements successifs transforment l’hypothèse en une éventualité puis en une menace et finalement en une annonce quasi apocalyptique ? La pandémie est déjà là, ici et partout et 429 personnes sont mortes de la grippe H1N1 dans le monde à l’heure de la rédaction de cet édito. Selon les chiffres officiels, 95 512 cas sont recensés dans le monde, et toujours selon les mêmes sources, 2,5 millions de personnes sont touchées par la grippe saisonnière en France et 371 par le virus de la grippe H1N1 ! Cherchez l’erreur…
Pourquoi tant de bruit, de peur ?
La nouvelle grippe est dangereuse par son éventuelle mutation, c’est-à-dire par une modification irréversible de l'information génétique et héréditaire qui ne peut être envisagée, par ces Cassandres modernes, que fatale.
Cette grippe est décrite aussi comme déjà dangereuse, paradoxalement, par son caractère bénin ! Elle se dissimule ! On ne la voit pas, car elle a peu de symptômes. Beau travail de séquences d’acceptation pour faire converger des données contradictoires. Elle est redoutable par sa fourberie. Invisible, elle devient, évidemment, difficilement décelable.
L’ennemi est parmi nous.
Un récent article paru dans le « New Scientist » apporte peut-être un début de réponse ; cette publication porte sur l’effet nocebo.et met en évidence l’une de ses caractéristiques : « le phénomène psychogénique de masse ». Cet aspect très spécifique prend sa source dans la croyance et dans le caractère contagieux de symptômes divers au sein d’un groupe. Et peut-être bien qu’un certain nombre de conditions sont d’ors et déjà réunies pour développer ce phénomène : surmédiatisation du virus H1N1 comme tueur mondial, informations contradictoires, absence de traitement sûr annoncé.
Apeurons, effrayons, distrayons, égarons et fournissons une solution rentable. La peur est bonne conseillère financière !
Cette formule qui me rappelle les leçons de morale que l’on nous dispensait à l’école communale me paraît rétrospectivement prophétique. De l’hygiène, de la bonne, de celle qui éradique. Et qui favorise les résistances.
Est-il possible de comparer ce qui est déversé dans nos champs et de façon indirecte dans nos verres et assiettes avec ces informations alarmantes qui par glissements successifs transforment l’hypothèse en une éventualité puis en une menace et finalement en une annonce quasi apocalyptique ? La pandémie est déjà là, ici et partout et 429 personnes sont mortes de la grippe H1N1 dans le monde à l’heure de la rédaction de cet édito. Selon les chiffres officiels, 95 512 cas sont recensés dans le monde, et toujours selon les mêmes sources, 2,5 millions de personnes sont touchées par la grippe saisonnière en France et 371 par le virus de la grippe H1N1 ! Cherchez l’erreur…
Pourquoi tant de bruit, de peur ?
La nouvelle grippe est dangereuse par son éventuelle mutation, c’est-à-dire par une modification irréversible de l'information génétique et héréditaire qui ne peut être envisagée, par ces Cassandres modernes, que fatale.
Cette grippe est décrite aussi comme déjà dangereuse, paradoxalement, par son caractère bénin ! Elle se dissimule ! On ne la voit pas, car elle a peu de symptômes. Beau travail de séquences d’acceptation pour faire converger des données contradictoires. Elle est redoutable par sa fourberie. Invisible, elle devient, évidemment, difficilement décelable.
L’ennemi est parmi nous.
Un récent article paru dans le « New Scientist » apporte peut-être un début de réponse ; cette publication porte sur l’effet nocebo.et met en évidence l’une de ses caractéristiques : « le phénomène psychogénique de masse ». Cet aspect très spécifique prend sa source dans la croyance et dans le caractère contagieux de symptômes divers au sein d’un groupe. Et peut-être bien qu’un certain nombre de conditions sont d’ors et déjà réunies pour développer ce phénomène : surmédiatisation du virus H1N1 comme tueur mondial, informations contradictoires, absence de traitement sûr annoncé.
Apeurons, effrayons, distrayons, égarons et fournissons une solution rentable. La peur est bonne conseillère financière !
Diffusé par hypnose-ericksonienne.org
Source : http://www.hypnose-ericksonienne.org/Virus-de-la-G...
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