Presque aucun retentissement des radiofréquences sur la santé humaine, annonce l’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail). Soit il y a un effet, soit il n’y en a pas ! Comme les individus ne présentent pas le même degré de sensibilité à leur environnement, les effets sont donc variables. Les agences françaises consacrées à la santé et les divers experts ministériels nous ont déjà habitués à leurs incompétences, leurs inutilités ou leurs conflits d’intérêts. Voir les affaires du Médiator(R), les pseudo-épidémies de grippe aviaire… En 2011 et en 2012, j’ai passé du temps pour obtenir de l’ANSES le financement d’une étude afin de mieux valider une méthode diagnostic et thérapeutique des effets des ondes électromagnétiques. L’ANSES a refusé ce financement à deux reprises. Pourtant l’étude préliminaire effectuée sur 12 personnes a prouvé que certaines personnes présentaient des modifications neurologiques et musculaires immédiates quand elles sont en contact avec un téléphone portable en mode veille. Ignorer un certain nombre d’études est certainement un très bon moyen pour affirmer qu’il n’y a pas d’effet ou presque des ondes électromagnétiques sur la santé !
Le dosage en routine de la vitamine D n’a pas d’utilité, conclut la Haute Autorité de Santé dans son rapport d’évaluation sur cette pratique. Or, il est clairement établi que les excès comme les insuffisances de vitamine D sont dangereux pour la santé : Alzheimer, maladies cardiovasculaires, cancer, ostéoporose, douleurs…