La personne en “mal de vivre” aura tendance à faire d’une taupinière une montagne insurmontable, conséquence le plus souvent d’un long malaise existentiel. Admis, il aide à prendre conscience de la situation présente et des souffrances accumulées depuis tant d’années. Dans le cas contraire, la déprime risque de persister et de résister à toute tentative d’amélioration. Elle peut se transformer en dépression, elle est alors du domaine médical. Mais, même dans cette hypothèse extrême, de nombreux spécialistes préconisent un accompagnement complémentaire fondé sur l’alimentation, la respiration, la méditation, la phytothérapie.
La Sophrologie qui a pour objet de développer la pensée positive a donc toute sa place. Avec un entraînement régulier, on apprend progressivement à découvrir tout ce qu’il y a de positif dans notre environnement et à mettre entre parenthèses le négatif.
La Sophrologie apporte une aide précieuse et efficace en associant relâchement musculaire, respiration et pensée positive de façon à faire communiquer au mieux le corps et l’esprit. Elle agit sur la fréquence cardiaque, la tension artérielle et la fréquence respiratoire tout en diminuant ainsi l’anxiété, l’angoisse et le stress. Le sophrologue pourra apporter à son client les “outils” nécessaires lui permettant de retrouver calme et sérénité.
« Lorsque je vois un patient pour la première fois, déclare le Dr Raymond Abrezol, j’ai pris l’habitude de lui demander : qu’est-ce qui va bien dans votre vie ? La plupart du temps, la majorité ne sait que répondre. Ils sont si profondément fixés sur leurs problèmes qu’ils deviennent incapables de me citer, ne serait-ce qu’un seul des nombreux éléments positifs de leur vie. L’éducation du petit homme civilisé est faite pour développer sa pensée négative. Le processus est inconscient, mais le résultat est assez catastrophique. Nous sommes la plupart du temps incapables de vivre intensément un moment heureux tellement nous avons été inhibés par rapport à tout ce qui est positif. J’ai l’habitude de dire que l’être civilisé se trouve devant un champ de fleurs au centre duquel il y a une bouse de vache, ne voit que cette dernière et ignore l’existence des fleurs ».
Philosophie intégrative oblige, dès qu’un client vient à mon cabinet de sophrologie pour un accompagnement d’un état de “mal-être”, nous faisons le point du côté nutritionnel. Notre alliance sophronique (entente entre patricien et son sujet) portera d’abord sur le lâcher-prise. Une séance de sophrologie qui visera à détendre, un à un, les muscles du corps. Il s’agit ici de renforcer la présence du corps dans la conscience tout en se libérant de toutes les tensions corporelles. Précisons qu’il ne s’agit pas de “visualiser” le corps mais bien de ressentir les messages et les sensations qu’il nous adresse. Cette sophronisation, qui nous amène dans un état de conscience modifiée “juste au bord du sommeil”, est donc fondamentale dans le traitement des tensions musculaires.
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La Sophrologie qui a pour objet de développer la pensée positive a donc toute sa place. Avec un entraînement régulier, on apprend progressivement à découvrir tout ce qu’il y a de positif dans notre environnement et à mettre entre parenthèses le négatif.
La Sophrologie apporte une aide précieuse et efficace en associant relâchement musculaire, respiration et pensée positive de façon à faire communiquer au mieux le corps et l’esprit. Elle agit sur la fréquence cardiaque, la tension artérielle et la fréquence respiratoire tout en diminuant ainsi l’anxiété, l’angoisse et le stress. Le sophrologue pourra apporter à son client les “outils” nécessaires lui permettant de retrouver calme et sérénité.
« Lorsque je vois un patient pour la première fois, déclare le Dr Raymond Abrezol, j’ai pris l’habitude de lui demander : qu’est-ce qui va bien dans votre vie ? La plupart du temps, la majorité ne sait que répondre. Ils sont si profondément fixés sur leurs problèmes qu’ils deviennent incapables de me citer, ne serait-ce qu’un seul des nombreux éléments positifs de leur vie. L’éducation du petit homme civilisé est faite pour développer sa pensée négative. Le processus est inconscient, mais le résultat est assez catastrophique. Nous sommes la plupart du temps incapables de vivre intensément un moment heureux tellement nous avons été inhibés par rapport à tout ce qui est positif. J’ai l’habitude de dire que l’être civilisé se trouve devant un champ de fleurs au centre duquel il y a une bouse de vache, ne voit que cette dernière et ignore l’existence des fleurs ».
Philosophie intégrative oblige, dès qu’un client vient à mon cabinet de sophrologie pour un accompagnement d’un état de “mal-être”, nous faisons le point du côté nutritionnel. Notre alliance sophronique (entente entre patricien et son sujet) portera d’abord sur le lâcher-prise. Une séance de sophrologie qui visera à détendre, un à un, les muscles du corps. Il s’agit ici de renforcer la présence du corps dans la conscience tout en se libérant de toutes les tensions corporelles. Précisons qu’il ne s’agit pas de “visualiser” le corps mais bien de ressentir les messages et les sensations qu’il nous adresse. Cette sophronisation, qui nous amène dans un état de conscience modifiée “juste au bord du sommeil”, est donc fondamentale dans le traitement des tensions musculaires.
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La Sophranalyse. Par Jean-Pierre Hubert Pour la Revue Santé Intégrative
Formation à Paris
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